A la sortie d’une période électorale intense, la question de la « bonne » politique d’immigration s’est retrouvée sur le devant de la scène à côté de celles portant sur la place de la France dans l’Europe ou de la réforme de la fiscalité.

La Grèce se retrouve aujourd'hui dans une situation inextricable. Doit-elle se conformer aux plans imposés par la Troïka ou quitter la zone euro afin de sortir de cette impasse ? Les élections du 17 juin devraient en décider.

Une solution à la crise des dettes souveraines en zone euro serait de combiner obligation synthétique avec fonds d’amortissement. Cela permettrait de rétablir la confiance perdue entre Etats européens, confiance nécessaire pour construire, à terme, des solutions entièrement fédérales.

Pour traiter l’actuelle crise de la zone euro, de nombreuses propositions ont été faites au niveau européen : l’introduction d’euro-obligations, la création d’une union bancaire, l’acceptation d’une union de transferts. Néanmoins, ces solutions se heurtent à plusieurs problèmes.

The Eurozone is facing three intertwined and mutually reinforcing crises: a sovereign debt glut, banks’ financial fragility and dampened growth prospects. Further fiscal and political integration seems to be the only way to address these issues.

La solidarité fiscale en Allemagne a permis aux Länder de l'Est d'amorcer leur rattrapage. Le mécanisme de péréquation financière risque d'être remis en question à moyen terme. Le débat sur son fonctionnement ainsi que sur ses impacts fait écho aux controverses sur la solidarité fiscale entre les pays membres de l'Union européenne.

Commodity markets have recently been at the center of the world economic concerns: their increasing prices and high volatility frighten. A special issue of International Economics focuses on explaining the recent developments on commodity markets.

The slow progress of regional integration efforts in the Middle East and North Africa (MENA) region could be explained by the reluctance of resource-rich countries to deepen trade agreements which hurt them.

In France, like in most Western European countries, the debate on competitiveness is entirely focused on manufacturing industries. The case of services sectors remains in the shadows, even though they undoubtedly are an important source of employment and constitute a clear comparative advantage.

Les exportateurs français n’ont pas sensiblement réduit la fréquence de leurs livraisons pendant la crise, en dépit de la forte chute de la demande. Une récente étude du CEPII explique pourquoi.